cuivrage des balles....

bonjour,
est ce que certains se sont déjà essayé au cuivrage de balles plomb avec le procédé de galvanoplastie au bidon + sulfate de cuivre?
c'est le gars a qui j'ai acheté mon linotype il y a quelques semaines qui m'a parlé de ça et expliqué un peu le procédé et je me demande si je ne vais pas me laisser tenter....
j'ai testé sur une balle que j'ai suspendu dans le sulfate mais normalement ça se fait dans un tonneau rotatif pour un meilleurs résultat.
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@+,vincent.

Intéressant

Dans quel but ?

Limiter l'emplombage? Diminuer les coefficients de friction? Rattraper des jeux fonctionnels?
Par contre je m'interroge sur la maitrise de l'homogénéité de l'épaisseur avec cette méthode plutôt empirique...

Okinawa83 a écrit:Par contre je m'interroge sur la maitrise de l'homogénéité de l'épaisseur...

Par galvanoplastie on peut pas à proprement parler "d'épaisseur" tellement elle est minime ! c'est pour ça que je m'interroge ?

c'est bien pour limiter l'emplombage que je voudrais tester...à vrai dire il me reste encore quelques jours avant de pouvoir déposer ma demande de détention donc je ne sais pas encore si j'en aurais besoin ou pas. les balles que j'ai coulé sont à BHN 13 pour le 38 et BHN 17,9 pour le .357 et forcément pour le moment je ne peux pas les tester, d'ailleurs je reviendrais vers vous d'ici peu a ce sujet car je ne trouve pas grand chose concernant le modèle de balle que je vais utiliser que ce soit sur le malfati ou sur le gheerbrant, je trouve des modèles qui s'en approchent mais rien qui tombe pile poil et je voudrais éviter de faire des âneries

PP79 a écrit:

Okinawa83 a écrit:Par contre je m'interroge sur la maitrise de l'homogénéité de l'épaisseur...

Par galvanoplastie on peut pas à proprement parler "d'épaisseur" tellement elle est minime ! c'est pour ça que je m'interroge ?

avec la galvanoplastie en tonneau à première vue on peu ajouter une bonne couche de matière du fait que les balles se frottent et se cognent les unes aux autres et il n'y a pas cette espéce de couche d'oxyde friable qui se forme comme dans le cas d'une simple galvano par trempage statique

Ok, par contre je me suis toujours posé la question:
Lors de la prise de rayure et durant le trajet de l'ogive dans le canon, il y a obligatoirement disparition de ce revêtement de surface très fin, surtout lors de la prise de rayures, la ductilité du revêtement et celle de l'alliage de l'ogive sont différente comme leur limite, le critère de Griffith devrait nous le montrer, le cuivre pur recuit: 7 MPa avec une ductilité de A% jusqu'à 50 %, Limite élastique 40-440 MPa, Dureté 45-105 HBS (Brinell).
Pour le plomb, Limite élastique0,5 kg/mm², allongement à la rupture 40% .
Donc comment la limitation de l'emplombage peut elle être durable?

A défaut d'emplomber j'aurais trop peur d'encuivrer avec ce procédé

thomasda a écrit:A défaut d'emplomber j'aurais trop peur d'encuivrer avec ce procédé

mdr.... en même temps il se vend des balles électro cuivrée et il est possible que le procédé soit du même genre.
pour ce qui est de la prise de rayure ça ne doit pas être moins résistant que la peinture en poudre,enfin je ne pense pas.