Confirmation de rechargement

Bonsoir à toutes et à tous , j aimerai avoir un avis sur un rechargement que j aimerais effectuer. Amorce fiocchi smoll pistol primers , étui s&b recupere , poudre ba 9 dosee a 0,27-0,28 et enfin ogives sellier et bellot fmj 9 mm para. Merci pour vos avis

Les étuis S&B ne sont pas tip top c'est du consommable pur est dur. en revanche les ogives sont de qualité correcte.
Tu utilises un 92F il me semble, 0.28 de Ba9 c'est faible, tu risques d'avoir des problèmes de réarmement.
La fourchette 0.30 à 0.32 de Ba9 devrait être plus performante.

Merci furax pour ta réponse. Donc il faut que je monte entre 0.30 et 0.32 pour le beretta. En revanche vu que je tire plus avec le glock , penses tu que 0.27 -0,28 suffisent. Merci

Essais d'avoir le même chargement pour le Glock et le 92F cela ne mange pas de pain...

Anciennement 92FS et maintenant 90 Two, je suis à 0,30 de BA9 serti 1/4 de tour. 0,28 trop léger mais par sécurité faire un escalier à partir de 0,27 si tu ne l'as pas encore fait.

Avec les mêmes ogives dans CZ75, CZP10M, SPHINX SDP et GLOCK17, je tourne aussi a partir de 0,30 pour éviter les soucis notamment avec mon 17GEN5.(avec sertissage 1/2 LFCD)
Une arme ne valant pas une autre, démarre un escalier à 0.28 pour voir mais je pense comme les camarades que ça risque d’être juste.

Je ne recharge pas à la BA 9, et n'utilise pas ce poids de balle.

En revanche, il y a quand même une réflexion qui me vient : perso, quand j'ai besoin d'une "confirmation" sur un rechargement, ce n'est pas vers un forum que je me dirige, où je ne connais pas la fiabilité des intervenants qui vont me répondre.
Au contraire, même .
Pour valider un rechargement, on utilise une source sûre : un manuel de rechargement reconnu, les tables du fabriquant, des balles ou de la poudre.
Quand bien même on choisit une "recette" hyper connue, quasi "universelle".
Et surtout on la valide avec son arme perso, et pas celles d'autres tireurs rencontrés sur un forum, quand bien même ils auraient (ou prétendraient avoir ...) une arme semblable.
Et en respectant les mesures élémentaires de sécurité (détermination de la longueur HT de sa cartouche pour SON arme, escalier de dosage de la poudre adapté au poids et la constitution de la balle, en commençant par le mini, en variant progressivement un seul facteur à la fois, etc ...), on met au point une cartouche adaptée à son arme, son fonctionnement, ses particularités ...

Ne pas le faire, c'est le signe qu'on ne connait pas les principes élémentaires du rechargement, qu'on ne les respecte pas, et qu'on prend des risques inconsidérés pour des bénéfices bien relatifs.

Bonjour à tous et merci pour vos réponses. Cela me permet de glaner quelques informations et me donner quelques pistes. Pour repondre à rem 44 , difficile de comprendre ton intervention puisque tu ne recharge pas à la ba 9 et tu n utilises pas ces ogives. Si je te relis , tu es sur un forum pour demander conseil , recouper des informations, mais par contre, il ne faut pas écouter les différents membres qui vont prendre le temps de partager leur expérience au titre de je ne sais quoi. Dans le manuel reconnu , on préconise entre 0.32 et 0.34 avec amorces winch. Sp. Donc comme tu peux le constater les données je les ai. Et enfin , le 0.28 , je le sors d une discussion avec un armurier. Pour rappel , mon beretta 92 s est de 1977 , donc les 10% de moins par rapport aux données du manuel , sont juste une charge me permettant de ménager mon beretta. Partage ton expérience, avec se que tu utilises, cela sera plus constructif pour moi.

Je tire de la 115 grains cuivrée, avec une poudre lente (A0), dans une arme hyper robuste (HK USP Elite ou Expert), pour tirer à bras franc.
Comme tu le vois, il n'y a aucun paramètre commun entre ton expérience et la mienne.
Te donner mes données de rechargement ne te serait d'aucune utilité.

Je t'ai conseillé la prudence : je pensais que c'était un conseil utile.

jc30 a écrit:Dans le manuel reconnu , on préconise entre 0.32 et 0.34 avec amorces winch. Sp. Donc comme tu peux le constater les données je les ai. Et enfin , le 0.28 , je le sors d une discussion avec un armurier. Pour rappel , mon beretta 92 s est de 1977 , donc les 10% de moins par rapport aux données du manuel , sont juste une charge me permettant de ménager mon beretta.

Tu as donc les infos pour la poudre que tu as choisie.
Détermine l' enfoncement de ta balle en fonction de TON arme.
De plus, tu adaptes tes tests en prenant en compte ton arme et son ancienneté.
Commence prudemment, fais des tests, et prends en compte les résultats pour résoudre les problèmes qui pourraient apparaître.

Merci rem 44 pour tes infos. Effectivement pour le moment je suis dans la recherche du bon dosage. Pour l enfoncement je prends pour référence une manufacture. Munition témoin sans amorce. Je vais établir des paliers et seulement après je travaillerai sur un autre élément. Merci au plaisir de te lire

On se focalise bien trop sur la dose de poudre, à mon avis.
Ce n'est qu'un élément parmi d'autres.
Je trouve que l'enfoncement est un critère bien plus décisif en matière de précision.
Idem pour le sertissage, qui assure le maintien de la balle dans l'étui au moment du chambrage, ainsi que la régularité de l'inflammation de la poudre, et donc le moment de "libération" de la balle pendant la montée en pression . Et par voie de conséquence, la régularité des vitesses.

Détermine l'enfoncement en utilisant les mêmes balles que tu vas tirer.
Tu peux t'inspirer d'une cartouche manufacturée , mais parfois les balles semblent identiques, mais ne le sont pas.
Elles peuvent notamment avoir des longueurs différentes.

Le test du "ploc", c'est simple, parlant, et ça a fait ses preuves.
J'utilise mon canon, démonté, comme une jauge pour déterminer la longueur de mes cartouches finies.
Tant que ma cartouche inerte ne tombe pas toute seule de mon canon quand je le retourne, c'est le signe que la partie ogivale de la balle plante dans les rayures, et qu'il faut enfoncer davantage la balle dans l'étui.

Sinon, il y a aussi cette méthode : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

, je vais me pencher un peu plus sur tes conseils , car c est vrai que l on focalise trop sur la dose de poudre. Tant de critères à prendre en charge. Cela rend la notion de rechargement encore plus attractive. Je vais faire quelques lots avec de petits ajustements et affinerais avec le temps. J avais lu la méthode d enfoncement de la munition dans le canon Si je comprends bien tu te donnes une longueur d enfoncement , tu fais le test du ploc , jusqu’à avoir ton ogive au plus près des rayures Ainsi dès son départ l ogive est canalisee. C est un peu pour cela que j ai préféré prendre un 38 spécial au lieu d un 357 et tirer du 38. Je trouvais que le petit flottement de l’ogive a son départ devait bien avoir des répercussions.

Oui, je détermine d'abord la longueur maxi qui permet le test du "ploc".
Il faut vraiment éviter que la balle "plante" dans les rayures.

Ensuite, je fais mon escalier pour déterminer la dose de poudre qui fait fonctionner l'arme avec cette longueur.

Et si je ne suis pas satisfait de la précision, je réduis l'enfoncement, en recommençant un escalier depuis le bas de la table, pour ne pas trop monter en pression.

Ça ne me dérange pas d'avoir du "vol libre", parce que j'ai vraiment enfoncé la balle.
Au contraire, même. J'ai remarqué, à l'usage, que ça aidait à la précision.
J'adapte juste la charge de poudre en conséquence.
Les balles que j'utilise, des HN HS 115 grains HP cuivrées, sont enfoncées quasiment au maximum, presque jusqu'à l'épaulement.

Et ça a aussi un autre gros avantage, quand on tire avec plusieurs armes : en tirant des cartouches les plus courtes possibles, je sui sûr qu'elles rentrent dans tous mes pistolets.
Et ça tombe bien, parce que j'en ai 5 en 9 mm ...

Ok me reste plus qu à procéder par étape. Merci pour ces conseils et au plaisir de te lire.